mercredi 11 janvier 2017

Et les matins pour la fin

Voilà venu le temps de conclure (enfin?)


Comme vous l'aurez deviné peut-être, ces déchroniques doivent beaucoup aux matins calmes, le temps libre, le temps des enfants qui dorment encore, de cet air frais, dans ce calme relatif d'une Europe-Orient qui ne s'active que fébrilement à ces heures là, d'un bon petit café à la Turque, une table quelconque, un stylo à bille, et une fraîcheur d'esprit probablement. Et pour répéter le prologue, merci pour la suggestion.


Que retenir? Il suffit de relire...Six mois après, c'est avec plaisir que je relis ces notes,  ces angles de vues, qui racontent chacun quelque chose, qui vous retaquinent la mémoire. Pensez-y peut-être à ces quelques minutes de plume par jour.

Que retenir? Mais la liberté pardi ! Pas celle de cette nature pourtant grandiose. Non, la vôtre, celle d'avoir plus de cinq semaines devant soi, sans plannification pour dire, libre de rester là un peu plus, libre d'aller plutôt là, libre de choisir son rythme, et libre dans sa tête.

Nous, Arménie Géorgie 2016